BIOGRAPHIE


Hugo Lapointe
auteur compositeur interprète

 

 

Hugo est né le 13 février 1977. 
Son signe astrologique est  verseau.
Célibataire en couple 
papa d'une petite étoile Élicia Soleil

Il fait de la musique depuis plus de 14 ans. 
Il se dit un gars simple qui se ramasse pas tout le temps, enjoué, avec un très grand sens de l'humour, un gars de party qui fait un show de party. 


Un artiste à part entière.

Il vient d'une famille de 5. Son père Serge, sa mère Doris, 
ses grands frères Marc et Éric.


C'est Éric  le  frère aîné de 7 ans d'Hugo, qui lui a montré ses premiers accords de guitare et qui lui a transmis son goût pour la musique. Aujourd'hui Hugo et Éric sont  très proche l'un de l'autre, 
ils aiment mutuellement ce que l'autre fait.

Il a soumis une vingtaine de chansons à son frère Éric et son gérant Yves-François Blanchet. Les deux gars, conscients du talent de l’auteur-compositeur-interprète et surpris par les hits qu’il avait composés, ont sauté dans l’aventure.Yves-François Blanchet s'occupe maintenant de la carrière d'Hugo Lapointe.

Il a fait plusieurs spectacles au bar Le Studio dans le vieux-Terrebonne et au bar Le Cheyenne à Mascouche. Il a aussi participé à la comédie musicale Running Shoes à Saint-Esprit et  pour la Saint-Jean à Terrebonne. Depuis, il a fait son entrée dans le milieu artistique québécois.

10 ans à peine et déjà, Hugo maniait les baguettes, exprimant sans retenue ses élans musicaux sur une batterie. Malheureusement trop lourd à transporter lorsque venait le temps d’épater les copains, l’instrument a fait place à la guitare de façon toute naturelle. Du coup, plus que jamais stimulé par les cordes et des accords qu’il redécouvrait chaque jour, Hugo s’est rapidement forgé une personnalité musicale en donnant vie à des airs qui swinguent…

Pas surprenant, quelques années plus tard, de le voir arpenter les corridors du Cégep Lionel-Groulx pour y puiser une formation musicale soutenue qu'il n'a pas terminée, il dit l'avoir plus fréquentée qu'étudiée. Moins conformiste dans l’âme qu’il ne le pense, il emprunte aussi l’avenue de l’apprentissage autodidacte. Rien de mieux que la vingtaine pour se taper le circuit des bars, armé de refrains qui font dans les élans de toutes sortes!

En 1997, il prend d’assaut les planches du Studio de Terrebonne, où il réchauffe la scène tous les mercredis soir pendant près de sept  ans. Transporté par les influences les plus diverses, entre Louis Armstrong, Jim Corcoran, Beau Dommage et Paul Piché, il prend toujours davantage goût à la scène, alors que l’exploration musicale lui profite au maximum. Pour lui les bars c'est une école plus rude mais plus vraie et plus concrète, sans renier le Cégep . 

Parallèlement à ce rendez-vous hebdomadaire, Hugo devient la référence du magasin de disque où il travaille. Le jazz, le blues, les musiques du monde… ça le connaît! Profitant de l’abondante diversité qui s’offre à lui, au croisement de nouvelles découvertes et des coups de coeur, il s’adonne tranquillement mais sûrement à la composition et entretient une affection toute particulière pour les Big Band! Ses influences latines, jazz, swing, blues, scat... lui viennent du fait qu'Hugo est un mélomane de nature il aime de tout.
La musique et la scène il en mange, c'est là où il se sent bien.

Toujours avide de nouvelles expériences, Hugo participe à l’été 2003 à la comédie musicale The Running Shoes. Tour à tour acteur, humoriste, chanteur et musicien, il fait résonner tous ses talents pour le plus grand plaisir du public de Lanaudière.

Continuellement allumé par la soif de création, il en vient à façonner un peu plus chaque jour un album à son image : folk, pop, festif et truculent. Et c’est épaulé par son fidèle complice Patrice Gosselin qu’il fait naître des titres truffés d’histoires personnelles. Des pièces qui ne sont pas étrangères aux réalités de sa génération, aux préoccupations du vendredi soir.                                                          

 

Hugo est un grand fan d'Yvon Deschamps, 
faut le voir tenté de faire le monologue du thermomètre.

En spectacle:

Une de ses grandes idoles, Louis Armstrong l'homme au mouchoir blanc surnommé "The Battlefield". L’inventeur du scat, trompettiste et interprète unique en son genre demeure l’une des figures majeures les plus aimées du monde musical. 


Le scat est en partie  une imitation des instruments de jazz avec la bouche, sa première chanson fait en scat "Heebie Jeebies." En spectacle on peut  voir  Hugo interpréter les succès  " What a Wonderfull world, Hello Brother" de son idole qu'il s'amuse à fort bien imiter. ( Pour ma part ma préférée est " There Must Be a Way" mais celle-là il ne la fait pas encore ).

On peut le voir prendre la scène d'un air de "party" quand il interprète "Célibataire" ainsi voir son public debout à danser un peu partout, il réussit bien à faire lever la salle. "On fait l'amour", "Les allumeuses" qui provoquent le même dévouement pour son public. 

Hugo se dit collectionneur de peines d'amour. Il interprète "Ouvre-moi" chanson qu'il  a  écrite  après une peine d'amour vécue pendant 8 longues journées et 7 interminables nuits à demander à sa belle de lui ouvrir la porte, ce qu'elle n'a jamais fait.  "À l'anglaise" qui a été écrite après qu'une femme l'eût  quitté à l'anglaise. 

Les " Don't let me down" des Beatles, "Comfortably Numb" de Pink Floyd , " Assis ent' 2 chaises" de Plume Latraverse , "Leyla " de cabrel, interprétés par Hugo Lapointe  nous transportent quelque part dans le temps avec un brin de nostalgie et de douleur en même temps. En plus d'interpréter plusieurs autres covers  selon l'endroit, l'émotion du moment ou le public présent. 

Un show à voir et à revoir.

 

Hugo a cumulé 20 000 ventes, une centaine de spectacles, l’énorme succès de Célibataire et le troublant clip argentin de "On fait l’amour" sur un album aux sonorités latines, chaudes, et alors, avouons-le, qu’il n’était pas du tout célibataire. Hugo s’adresse toujours à ces mêmes gens, maintenant fin vingtaine comme lui, parents comme lui est père, modernes… 
à écouter : Le deuxième album "La Trentaine" sortie en 2007.